Perdre aussi sa fratrie

Perdre aussi sa fratrie
Wednesday 27 February 2008

bonjour,

Je viens de terminer un de vos livres intitulé”notre corps ne ment jamais”bien que cette espace fut consacrée aux questions, que j’aurai probablement plusn tart mais en ce moment je tiens à vous remercier de m’avoir sauver la vie c’est à dire me permettre de renaitre(je ne suis pas suicidaire).Je m’appelle suzy je vais avoir 40 ans le 23 mars prochain, cela fait 20 ans que je cri haut et fort de cette forme de maltraitance (depuis apres la mort de mon pere en 1984)

malheureusement l’ensemble de ma famille me considerais comme quelqu’un qui se prends trop la tete et desurcroit risque de devenir folle hors au plus profond de moi c’etait tout le contraire.

Cependant,au debut de cette semaine j’etais sur le point de leur donné raison quand je me suis sentis envahi par une violente angoisse,je me suis donc diriger vers un site internet dont je ne me rappelle plus pour finalement tombé sur ce livre dont le titre m’a tout de suite accroché bien evidemment je l’ai sans hesiter commandé.

Enfin de lecture j’ai qu’une reflection:J’ai trouvé une personne qui ne se ment pas ,qui n’ecrit pas des livres juste pour se remplir les poches,enfin je peux respirer grace à la prise de conscience de ma vérité et peux au moins vivre sans changer pour autant de religion ni nié la presence de DIEU mais stopper la grande duperies des gens qui prétendent vous aimez et viennet vers uniquement pour aspirer votre énergie

Je peux enfin enttendre,voir avec mes propre yeux et non ceux des autres.

Merçi à vous et bon week-end
Réponse de Brigitte:

Il n’est pas rare que la fratrie ne suit pas quand on ouvre les yeux sur la réalité du passé vécu ensemble et c’est vrai qu’il est douloureux de se retrouver seul face aux crimes causés par nos parents, c’est dans la douleur de cette solitude que l’on peut avoir des moments de doutes et d’angoisses. C’est aussi là que l’on peut se rendre compte que sa famille que l’on croyait de son côté ne l’a finalement jamais été et c’est aussi douloureux de perdre ses illusions là. BO