Dégoûté des psy

Dégoûté des psy
Wednesday 12 April 2006

Bien que je doute que alice millier puisse lire cette lettre étant donné que comme le montre le courrier sur le site le seul but d’alice miller est de faire sa pub et son auto promotion, toutes les lettres disent comme alice miller est formidable et fantastique, mais même si les lettres ne sont pas des critique mais peut-être de nouvelles choses, il n’est apparemment pas possible d’être entendu par alice miller ou son équipe, ce qui est dommage tant ses livres, sont intéréssants.

Je voulais juste vous dire que personnellement je ne souhait plus aller voir de psy, même le type de thérapies préconisé par alice miller dans un de ses livre, celle d’un psyhologue qui est centré sur l’enfance.

J’attendais d’un psy de pouvoir parler librement de ce que je voulais et surtout de l’origine des mes traumatismes et de ce que je n’ai pu supporter, mais aussi qu’il m’aprenne à me défendre contre ces agressions et de pouvoir en parler aussi en dehors du cabinet, mais dès que je parlais au psy de ça, ils me répondaient que c’était ce que je ne faisais pas, que je refusais de faire .

Je crois que le site d’alice miller devrait insister sur les dangers des psy qui ne font que reproduire les situations traumatisantes du patients et surtout direclairement que les psys ne sont pas du tout sortis de ce qu’ils sont subis, sauf peut être quelque uns qui n’ont pas fait que apprendre par coeur leur formation.

J’ai moi même été vistime d’abus graves et les psy se contentaient de me répéter des choses vides sans aucun sens, comme: « c’est parce qu’il ne fallait pas déranger »je n’ai jamais su de quoi ils me parlaient en disant ça.
Mais il m’ont mis en confiance au début parce que je n’osais pas parler et demander des choses, ils m’invitaient à le faire mais ensuite lorsque je commençais d’en parler ils me disaient que c’était du passé, comme si je ne devais parler que de ce qui s’était passé dans la semaine entre chaque rendez vous.

Il y a quelques années, j’entrais dans la maison de ma grand mère et elle cuisinait, je me suis arreté quelques instants pour regarder ce qu’elle faisait à manger et elle s’est avancé et à mis quelques instants sa main sur mon pantalon sur mon sexe, mais le pire je crois est ce que les psy m’ont dit: le premier à qui j’en ai parlé m’a dit que ce n’était pas un abus parce qu’elle n’avait plus envie de rapport sexuel à 80 ans et que ma grand mère était maladroite, l’autre psy que je voyais en groupe de thérapie, la femme du premier psy, m’a elle dit: ‘Est-ce que vous pouvez comprendre que les femmes ne viennent pas toujours pour ça  » (« pour ça » = pour un rapport sexuel, peut être voulait dire cette psy ?)

Je suis resté véritablement effaré que des psys pense que quelqu’un sous prétexte qu’il est agé puis toucher des parties du corps intimes d’une autre personne sans qu’ils trouvent ce geste au minimum déplacé.

J’ai malheureusement pu vérifier beaucoup de ce que dit alice miller dans ses livres, je les ai lus après avoir arreté d’aller chez des psys qui ne savait abolument pas m’aider.

Il y un point que me semble pourtant inadmissible dans ce que dis alice miller et je souhaite qu’elle soit comdamnée pour ça (même elle qui à découvert beaucoup de choses ne peut se permettre ça), c’est qu’elle insiste sur le fait que les médicaments ne renseignent pas sur les causes d’une maladie mais d’une manière méprisante pour les médicaments, comme si ils étaient tous bon à jeter à la poubelle (bien sûr, votre défense sera de dire que j’ai mal compris ce qu’elle dit, mais c’est trop facile), je crois qu’il serait bien de trouve un vaccin pour le virus du sida, et j’aurais apprécié d’être soigné avec des médicaments lorsque j’ai eu les oreillons quand j’avais quelques années, mais ma famille dit comme vous, que les médicaments ne soigne pas tout et que c’était une autre manière de me soigner (de me refuser des soins!), et j’ai aussi été bien content d’avoir des antis-douleurs quand j’ai du me faire opérer.

Je cite: (*http://www.alice-miller.com/sujet/framfr.htm*)
 »

*Alice Miller*

*LES RAISONS TROUVABLES*

*Surmonter les séquelles de la maltraitance.*

Un médicament peut seulement brouiller ces causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail de signalisation
jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la maladie.
… »

Arrêtez de croire sous prétexte que vous êtes psys que vous êtes au dessus de toutes les lois (il existes des lois qui sont bien et qui protège les gens des maltraitances)

J’ai déja failli appeler la police pour un psy qui ne me laisser pas arrêter d’aller chez lui en thérapie, je ne plaisante pas.

Ne poussez pas le bouchon trop loin !

Il y a une choses que alice miller ne dit pas, c’est que parler avec des personnes qui nient que abuser des enfants est mal ne sert à rien, et donc comment protéger les enfants des ces personnes, malheureusement je ne le sais pas.

G R

AM: Vous avez tout à fait raison quand vous dites qu’il y a sans doutes des médicaments indispensables mais il faut dire que ma lutte contre l’abus scandaleux des anti-dépressants aujourd’hui est très bien documentée. Et vous avez raison qu’une intrusion sexuelle est un abus. Tout simplement, n’importe de quelle âge est la personne.